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14.9.14

Bejart Ballet Lausanne. Staatsballett Berlin 2014/2015


Bejart Ballet Lausanne "Bolero" Foto Ilia Chkolnik. Deutschen Oper Staatsballett Berlin

Bejart Ballet Lausanne "Bolero" Foto Ilia Chkolnik. Deutschen Oper Staatsballett Berlin

 Bejart Ballet Lausanne "Le Sacre Du Printemps" Foto Valerie Lacaze. Deutschen Oper Staatsballett Berlin

Bejart Ballet Lausanne "Le Sacre Du Printemps" Foto Valerie Lacaze. Deutschen Oper Staatsballett Berlin

Bejart Ballet Lausanne "BBL Ce Que LAmour Me Dit" Foto Anne Bichsel, Deutschen Oper Staatsballett Berlin

Bejart Ballet Lausanne "BBL Ce Que LAmour Me Dit" Foto Anne Bichsel, Deutschen Oper Staatsballett Berlin

14.4.13

Le marteau sans maître, by Maurice Béjart


Musique: Pierre Boulez
Premiered at Ballet du XXe Siècle, Scala de Milan, 18 janvier 1973
Décors et costumes: Joëlle Roustan, Roger Bernard
Interprètes: Jorge Donn, Rita Poelvoorde, Suzanne Farrell, Niklas Ek, Daniel Lommel, Yvan Marko

Chorégraphie: Béjart. Poème de René Char. Musique: Pierre Boulez

2.3.13

Don Quichotte (Mariinsky Ballet)

Choreography: Alexander Gorsky after Marius Petipa
Music: León Minkus
Conductor: Pavel Bubelnikov
Olesya Novikova (Kitri/Dulcynea), Alina Somova (Queen of the Dryads), Evgenia Obraztsova (Amor (Cupid)), Leonid Sarafanov (Basilio), Vladimir Ponomarev (Don Quixote), Anton Lukovkin (Sancho Panza), Igor Petropy (Lorenzo), Vladimir Lepeyev (Gamache) and ballet artists from the Mariinsky Theatre.





6.8.12

Cédric Andrieux de Jerôme Bel


Esta pieza de Jerôme Bel, importante e influyente figura de la renovación de la danza, es un recorrido por la danza contemporánea a partir de la reconstrucción de la experiencia vital del bailarín Cédric Andrieux, integrante de la Merce Cunningham Dance Company durante casi una década. La obra muestra fragmentos de movimientos y gestos de Trisha Brown, Merce Cunningham o el propio Jerôme Bel, en un tour-de-force por la gramática de la danza contemporánea entremezclada con la propia narración biográfica del bailarín. El cuerpo como archivo y la narración ante el público conforman una historia generacional y subjetiva de la danza.

JERÔME BEL (1964), afincado en París, es bailarín y coreógrafo. Después de trabajar con varios coreógrafos en Francia e Italia, creó su primera pieza en 1994. Desde entonces, sus obras han recorrido los escenarios de todo el mundo. Registros fílmicos de sus piezas se encuentran en importantes museos y centros de arte contemporáneo como el Centre Georges Pompidou de París, la Tate Modern de Londres o el MoMA de Nueva York.

CREACIONES ESCÉNICAS: Nom donné par l’auteur, 1994; Jérôme Bel, 1995; Shirtologie, 1997; Le dernier spectacle, 1998;Glossolalie, 1999; Xavier Le Roy, 2000; The show must go on, 2001; Véronique Doisneau, 2004; The show must go on 2, 2004; Pichet Klunchun & myself, 2005; Isabel Torres, 2005; Lutz Förster, 2009; Cédric Andrieux, 2009; Un spectateur, 2009; 3 Abschied (junto con Anne Teresa De Keersmaeker), 2010.

© Herman Sorgeloos 


Jérôme Bel
POR Y CON
Cédric Andrieux
EXTRACTOS DE PIEZAS DE
Trisha Brown (Newark), Merce Cunningham (Biped, Suite for 5), Philippe Tréhet (Nuit Fragile), Jérôme Bel (The show must go on)
ENTRENADORES
Jeanne Steele (Merce Cunningham) y Lance Gries (Trisha Brown)
PRODUCCIÓN EJECUTIVA
Sandro Grando
UNA COPRODUCCIÓN DE
Théâtre de la Ville (París), Festival d’Automne (París), R.B. Jérôme Bel (París)
CON EL APOYO DE
Centre National de la Danse (París), La Ménagerie de Verre (París), Baryshnikov Arts Center (Nueva York)
R.B. JÉRÔME BEL CUENTA CON EL APOYO DE
Direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France, Ministerio de Cultura y Comunicación de Francia, Cultures France y Ministerio de Asuntos Exteriores para las giras
jeromebel.fr
catalogueraisonne-jeromebel.com

Publicado en Danza en Madrid por SNEO DANZA

29.7.12

Pierre Henry pour Maurice Béjart (1967)



Pierre Henry, les jerks électroniques de "Messe pour le temps present" pour Maurice Béjart (1967)

Pierre Henry (born December 9, 1927 in Paris, France) is a French composer, considered a pioneer of the musique concrète genre of electronic music.

Between 1949 and 1958, Henry worked at the Club d'Essai studio at RTF, founded by Pierre Schaeffer. During this period, he wrote the 1950 piece Symphonie pour un homme seul, in cooperation with Schaeffer; he also composed the first musique concrète to appear in a commercial film, the 1952 short film Astrologie ou le miroir de la vie. Henry has scored numerous additional films and ballets. Among Henry's best known works is the experimental 1967 album Messe pour le temps présent, one of several cooperations with choreographer Maurice Béjart featuring the popular track "Psyché Rock." In 1970 Henry collaborated with British rock band Spooky Tooth on the album Ceremony.

One of Henry's best-known influences on contemporary popular culture is to the theme song of the TV series Futurama. The tune is inspired by Henry's 1967 composition "Psyché Rock"

A1 Prologue
A2 Psyché Rock
A3 Jéricho Jerk
A4 Teen Tonic
A5 Too Fortiche
A6 Les Divinités Paisibles
B1 Rock Électronique
B2 Marche Du Jeune Homme
B3 Les Insectes
B4 Éblouissement De La Reine
B5 Danse Du Jeune Homme
B6 Fièvre
B7 Mort

Les jerks électroniques de la Messe pour le temps présent et musiques concrètes de Pierre Henry pour Maurice Béjart (1967)

25.7.12

L'Enfant-Roi, ballet de Maurice Béjart




L'Enfant-Roi, ballet de Maurice Béjart

Chorégraphie: Maurice Béjart
Musiques: Wolfgang Amadeus Mozart, Hugues Le Bars
Décors: Thierry Bosquet
Costumes: costumes prêtés par la Comédie-Française, Atelier Versace, Anna De Giorgi
Lumières: Clément Clayrol
Béjart Ballet Lausanne, Opéra Royal de Versailles, 8 juin 2000
Interprètes:
Le narrateur : Gil Roman
Enfant-Roi : Charles Ferreux ou Jonathan Howald ou Vivien Hochstätter
Et : Baptiste Gahon, Illia Chkolnik, Roberto Forleo, Adrien Mastrosimone, Anna Broquet, Vito Luciani, Michael Pomero, Juichi Kobayashi, Thierry Deballe, Aurélien Kairo, Christine Blanc, Igor Piovano, Sthan Kabar Louet, Julien Favreau, Olivier Van Praag, Alberto Pineda, Damaas Thijs, Roberto Forleo, Roger Cunningham, Allan Falieri, Chistophe Garcia, Pasquale Alberico, Elisabet Ros, Catherine Zuaznabar, Emma Sandall, Valérie Renault, Karline Marion, Elefthéria Komi, Domenico Levrè, Kathryn Bradney, Céline Chazot, Emilie Delbée

Modèle du chef d’œuvre en perpétuelle mutation. Palais modifié, agrandi, embelli, démoli, reconstruit, transformé, restauré…

Pendant deux siècles (le XVIIe et XVIIIe) cette demeure d’une étrange vitalité, semblable aux barrières de corail, vivantes et minérales, n’a cessé de s’agrandir et de se développer. Œuvre de trois rois. N’est-il pas curieux de constater qu’ils furent tous les trois des enfants-rois.

Louis XIII
Roi à onze ans, amoureux du site, il construit les deux premières versions du château.

Louis XIV
Roi à cinq ans, il fit des transformations successives et du petit château de son père le palais lumineux de la France.

Louis XV
Il fut aussi roi à cinq ans. Né au château, il le transforme à son tour et l’Opéra où nous allons jouer est l’œuvre du roi et de son architecte Gabriel.

Mozart
Curieusement aux dates de Louis XVI, à un an près, un autre enfant.

Le XIXe siècle ne comprit pas Versailles et on lui doit certains aménagements catastrophiques. Il faut attendre le XXe siècle pour retrouver l’amour et l’intelligence des restaurations qui rendent à la France son palais et sa lumière.

Versailles
Jeunesse et dynamisme. L’homme et l’eau. L’enfant et le soleil. La femme et le jardin.

Versailles
Où les rois ont marqué leur époque et transcendé celui-ci dans une enfance vertigineuse faite de musique, de théâtre, de bosquets, de gondoles, et où brillent partout la vitalité et l’intelligence.

Les rois sont morts, Vive le roi!
Essayons de faire, en hommage à ce château, une œuvre dynamique et lumineuse
où le sourire de l’enfance pulvérise les faux-semblants. Maurice Béjart

21.7.12

Les créations de Maurice Béjart



"Symphonie pour un homme seul", première création de Maurice Béjart en 1955 (Sipa)

Entre 1955 et aujourd'hui, Maurice Béjart a créé quelque 140 chorégraphies, dont voici les principales:

- "Symphonie pour un homme seul" (1955)
- "Haut-voltage" (1956)
- "Orphée" (1958)
- "Le sacre du printemps" (1959)
- "Bolero" (1960)
- "Les sept péchés capitaux" (1961)
- "Les Noces" (1962)
- "La Veuve joyeuse" (1963)
- "La damnation de Faust" (1964)
- "La 9e symphonie de L. Van Beethoven" (1964)
- "Wagner ou l'amour fou" (1965)
- "Roméo et Juliette" (1966)
- "Messe pour le temps présent" (1967)
- "Baudelaire" (1968)
- "L'oiseau de feu" (1970)
- "Nijinsky, clown de Dieu" (1971)
- "Stimmung" (1972)
- "Le marteau sans maître" (1973)
- "Golestan" (1973)
- "I trionfi del Petrarca" ((1974)
- "Notre Faust" (1975)
- "Petrouchka" (1977)
- "Eros Thanatos" (1980)
- "Thalassa Mare nostrum" (1982)
- "Malraux ou la métamorphose des dieux" (1986)
- "1789 et nous" (1989)
- "Ring um den ring" (1990)
- "Pyramide" (1990)
- "King Lear/prospero" (1994)
- "Le mandarin merveilleux" (victoire de la musique: meilleure production chorégraphique, 1995)
- "Presbytère n'a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat" (1997)
- "Jérusalem, cité de la paix" (1997)
- "MutationX" (1998)
- "La route de la soie" (1999)
- "Enfant-roi" (2000)
- "Lumière" (2001)
- "Mère Teresa" (2002)
- "Ciao Federico" (2003)
- "Zarathoustra" (2005)
- "La vie du danseur, racontée par Zig et Puce" (2006)

Maurice Béjart a également mis en scène, pour le théâtre, "cinq nô modernes" de Mishima (1984), trois pièces de Molière à la Comédie-Francaise et "La tentation de Saint-Antoine" de Flaubert avec Jean-Louis Barrault. A l'opéra, il a mis en scène "La Traviata" de Verdi (1973) à Bruxelles, "Don Giovanni" de Mozart (1980) et "Salomé" de Richard Strauss (1983) à Genève. Il a en outre écrit trois pièces de théâtre, qu'il a mises en scène: "La Reine verte" (1963), "Casta diva" (1980) et "A-6-Roc" (1992). © Le Nouvel Observateur

 "Erotica", un création de Maurice Béjart datant de 1965 (Sipa)

 "Le sacre du printemps", sur la musique d'Igor Stranvinsky, créé à Bruxelles en 1957 (Sipa)

 Né le 1er janvier 1927 à Marseille, Maurice Berger (qui devait plus tard adopter, en hommage à Molière, le patronyme de son épouse Armande Béjart) est le fils du philosophe Gaston Berger, qui fut membre de l'Institut (Sipa)

Pierre Boulez: Le Marteau sans maître


Le Marteau sans maître
Création en janvier 1973 à la Scala de Milan
Musique Pierre Boulez
Décor, lumières et costumes Roger Bernard
Mise en répétition Bertrand d’At et Didier Merle
Pièce pour 14 danseurs
Durée : 35 minutes


Rita Poelvoorde y Jorge Donn, coreografía Maurcie Bejart. Milano 1973. Musique Boulez

OEuvre abstraite fondée uniquement sur les rapports entre la partition musicale et le mouvement.

Sur l’une des partitions les plus célèbres de Boulez, six musiciens et une chanteuse trouvent leur correspondance sur scène en la personne de six danseurs, une danseuse et des montreurs de marionnettes bunraku. Ce dépouillement géométrique ne va pas pourtant sans un lyrisme sousjacent et des prolongements métaphysiques. Mais c’est au public d’interpréter les symboles et de construire un univers à travers le cheminement des formes et des sons. Le style chorégraphique est un essai de symbiose entre des enchaînements classiques qui se succèdent selon des séries mathématiques précises et non des critères esthétiques traditionnels et des mouvements inspirés par la métaphysique extrême-orientale également retravaillés comme matériau sériel.

À propos de la musique
Pierre Boulez est l’auteur d’une musique très virtuose qui n’est pas celle d’un chef d’école. Son oeuvre, qui comprend peu d’opus, a évolué du sérialisme intégral des années 1950, dont Le Marteau sans maître est sans doute l’un des chefs-d’oeuvre, vers une musique plus impressionniste, puis quasiment symphonique avec Répons. Le Marteau sans maître applique le sérialisme à tous les paramètres de la composition, durées autant que hauteurs. Sa petite formation et sa répartition en neuf mouvements le rattachent à la musique de chambre du début du XXe siècle, comme le Pierrot lunaire de Schoenberg. Ballet de l’Opéra national du Rhin

Le Marteau sans maître - Musique Pierre Boulez

20.7.12

Rita Poelvoorde, bailarina de Bejart


 Maurice Béjart dirige Rita Poelvoorde et Jorge Donn à l'école Mudra, créée en 1970


Rita Poelvoorde, exquisita solista del Ballet del Siglo XX de Maurice Béjar, nació el 23 de febrero de 1951. Actualmente vive y trabaja como profesora de danza y Yoga en Bélgica.

Tras una posible operación en la cadera a causa de una artrosis viaja a la India, a principios de los 80´, para estudiar y asistir a las clases de una leyenda viva, uno de los más importantes maestros de Yoga del mundo, y pioniero en introducir el Yoga en Occidente, Yogacharya B.K.S. Iyengar.  Después de varios meses de practica y disciplina al lado de B.K.S. Iyengar su cuerpo fue capaz de volver a bailar.

A su regreso Béjart quedó fascinado con su recuperación y su mejora general y le pidió que enseñara Yoga a los estudiantes de la escuela de danza Mudra. Poelvoorde aceptó la invitación y fue así como la milenaria disciplina de Iyengar entró por primera vez en una escuela de danza.

Actualmente Poelvoorde vive en Bruselas y se dedica a la enseñanza del Yoga Iyengar siendo pionera en la introducción de esta disciplina en el mundo del movimiento. Algunas de las instituciones que han introducido esta disciplina ha sido la Royale Ecole de Ballet d'Anvers, la Ecole Supérieure des Arts du Cirque y la Cía. Rosas de Anne Teresa De Keersmaeker.


Maurice Bejart choreography with Jorge Donn and Rita Poelvoorde
Música de Nino Rota para "Julieta de los Espíritus" de Federico Fellini

17.7.12

The Flute Of Krishna by Martha Graham




The Flute of Krishna (1926)
Production Company: Eastman Kodak Co.
Choreographer: Martha Graham.
Sets and Costumes: Norman Edwards.
Cast: Robert Ross (Krishna), Evelyn Sabin (Radha), Thelma Biracree, Constance Finkel, Betty MacDonald.
Transfer Note: Copied at 19 frames per second from a 35mm color print preserved by George Eastman House.
Running Time: 7 minutes.

This film documents an early work by Martha Graham, the most innovative and influential American-born choreographer of modern dance. Immediately before her New York debut as an independent choreographer, Graham taught dance in the 1925–26 academic year at the Eastman School of Music at the University of Rochester, where this film was shot, probably in May 1926. George Eastman’s donations had led to the Eastman School’s foundation in 1921, and his connection helps explain how this film came to be produced in experimental color by Eastman Kodak. To replicate the full visible spectrum on black-and-white film, three records (documenting red, green, and blue) are needed. In the silent era the most viable experiments employed complex optical engineering to capture two of the records (red and green), as seen here. Throughout the 1925–26 year, Graham would arrange short dances for the Eastman Theater as parts of public programs that would integrate staged drama and end with a feature film.

The May 9, 1926, Eastman Theater program announces the “first performance anywhere” of The Flute of Krishna. It is danced by five of her Eastman School students and draws from Hindu mythology. The god Krishna (literally “dark as a cloud,” and depicted in art with dark blue skin) was in his youth a cowherd whose flute music would tempt women to dance with him in the forests. Graham’s dance has Krishna (Robert Ross) calling four women, including his most devoted lover, Radha (Evelyn Sabin). In Indian devotional tales and lyric poetry, their love unifies the human with the divine. Graham’s choreography and content is still heavily influenced by the orientalism that pervaded her earlier years with the Denishawn company (and specifically by Ruth St. Denis’ Radha, 1906) but is finding its distinctive style through more rapid movements and Sabin’s collapsing into what became known as the “Graham fall” toward the end of the piece. Graham had come to the Eastman School of Music at the invitation of twenty-eight-year-old Rouben Mamoulian, the head of the School of Drama, who collaborated with Graham on almost all of the Eastman Theater presentations that year. Mamoulian would leave Rochester in the summer of 1926 to begin his brilliant career as a director of Broadway theater and then of sound films. Graham also left that summer to take up a career in New York City.—Scott Simmon About the Music The score was created by George Ruckert, who studied with the renowned sarod master Ali Akbar Khan for many years and teaches world music at MIT. He was joined by flutist V.K. Raman and tabla player Nitin Mitta. Ruckert offers these comments: “The amorous boy-god Krishna is the subject of many stories and dances in India.

Krishna is metaphorically the bridegroom to us all, but symbolically wooer to the gopis, the cow-maidens of Vrindaban, who continually seek his attention. This vexes Radha, who is naturally jealous of these rivals. As in this vignette, Radha always triumphs. The music of Kathak is generally played by a stringed instrument and tabla (drums). More elaborate productions may feature other instrumentalists—in this case a flute, since Krishna is often depicted as the divine flute player whose music charms the maidens. The introduction to our score is without meter and played mostly by the flutist. The tabla and sarod enter with the gopis, and the music and rhythm of their first dance movement is traditional. After that, the flute accompanies Radha to the steady pulse of a sixteen-beat rhythm cycle on the tabla. The sarod freely interprets the movement of the gopis. At the end of the dance the flute sings expressive phrases, telling of the raptures of Radha united with Krishna.”—Martin Marks

7.7.12

Maurice Béjart y Jorge Donn

Maurice Béjart y el precio de la pasión

Es 1963, es el imponente teatro Colón, es Buenos Aires y es la primera vez que el Ballet del Siglo XX, la compañía de Maurice Béjart, sale de gira fuera de Europa. Acaba de terminar el espectáculo y un muchacho corre para alcanzar a su ídolo, Béjart. Tiene 16 años, el cuerpo delgado y recto, la ternura en el rostro, los nervios alterados. Le pide permiso para asistir a una de sus clases y el maestro francés acepta. Tras la lección, le espeta:

–Quiero irme con usted para ser parte del ballet.

–Estamos completos. Además, eres demasiado joven.

artículo completo aquí 

 

Por Víctor Núñez Jaime
7 JUL 2012 - El País

Maurice Béjart, junto al que fuera su gran amor, el bailarín Jorge Donn, durante los ensayos del ballet Nijinsky, Clown de Dios en 1972. / GETTY


13.2.09

Ballet Bhakti de Maurice Béjart

Ballet Bhakti
Creado en 1969 por Maurice Béjart


Bhakti es la modalidad hindú de la forma más popular de adoración en las religiones del mundo contemporáneo.

El Bhakti es la devoción a un ser divino. Su esencia es hacer del objeto de devoción el pensamiento central, mantenerlo continuamente en el primer plano de su mente. “Bhakti III” es el fruto del encuentro feliz entre Oriente y Occidente. La filosofía y religión hindúes son el hilo conductor de este ballet que el propio Béjart definió así: “A través del amor, se nos identifica con la divinidad. Cada vez, quien creé hace revivir la leyenda de su Dios, que es, en fin, uno de los rostros de la Suprema Realidad”.

La base coreográfica de esta pieza es el paso a dos, donde emerge la tríada de divinidades compuesta por Visnú, Krishna y Shiva. Los roles principales son Sîtâ, Krishna, Râdhâ, Râma, Shakti, Shiva. El ballet se compone de dos partes y en él se mezclan diferentes danzas sobre temas de la mitología hindú.

Ballet du XXe siècle to the Béjart Ballet "Bhakti"
 
 

Cast
Paolo Bortoluzzi - Rama
Hitomi Asakawa - Sita
Jorge Donn - Krishna
Germinal Casado - Shiva
Tania Bari - Radha
Maina Gielgud - Shakti

Directed and choreographer by Maurice Béjart - 1969
Produced by E. Blondeel
Original Music by Gustav van Hoorenbeek
Cinematography by Willy Kurant


Bhakti - Krishna
Parte 1 -Extracto de la película Krishna Bhakti, creada en 1969 por Maurice Béjart
Interpreta la danza de Bhakti, Jorge Donn y Tania Bari

Bhakti - Rama
Parte 2 - Extracto de la película Krishna Bhakti, creada en 1969 por Maurice Béjart
Interpreta la danza de la divinidad Rama, Paolo Bortoluzzi y como Sita, Hitomi Asakawa

Bhakti - Rama
 Parte 3 - Extracto de la película Krishna Bhakti, creado en 1969 por Maurice Béjart
Interpreta la danza de la divinidad Rama, Paolo Bortoluzzi y como Sita, Hitomi Asakawa
 
Bhakti - Shiva
Parte 2 - La danza de Shiva en la elícula de Bhakti, creada en 1969 por Maurice Béjart
La bailarína Maina Gielgud interpretar la deidad Shakti y Germinal Casado, el dios Shiva